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Ma PAL de cet automne

Hier, on a passé un cap dans l'année: nous sommes en automne! Pas que ça change grand-chose, ni au temps, ni à l'état d'esprit.

Mais le jour du changement d'heure, ce jour où il fera nuit à 18 heures, là... Dans ma tête tout va changer! Noël dans un mois. La neige dans deux. Le ski dans trois...

En attendant, je vous présente ma PAL pour les mois à venir, que je qualifie de transitoires entre l'été et l'hiver.

L'automne, quoi.

Au lieu de vous faire mon propre résumé, je vous présente celui écrit derrière le livre. En même temps, comment vous parler d'un livre que je n'ai pas lu?

"Purgatoire des innocents", de Karine Giebel

"Je m'appelle Raphaël, j'ai passé quatorze ans de ma vie derrière les barreaux. Avec mon frère, William, nous venons de dérober trente millions d'euros de bijoux. C'aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang. Deux morts, un blessé grave. Le blessé, c'est mon frère. Alors, je dois trouver une planque où il pourra reprendre des forces.

Je m'appelle Sandra. Je suis morte, il y a longtemps, dans une chambre sordide. Ou plutôt, quelque chose est né ce jour-là... Je croyais avoir trouvé le refuge idéal. Je viens de mettre les pieds en enfer.

Et son sourire est le plus abominable qui soit… "

638 pages

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"La secte des égoïstes", de Eric-Emmanuel Schmitt

"Et si la vie n'était qu'un songe ? et si les nuages, les oiseaux, la terre et les autres hommes n'étaient que visions de notre esprit ? Un chercheur découvre par hasard l'existence d'un excentrique, Gaspard Languenhaert, qui soutint cette philosophie "égoïste" dans les salons du XVIIIe siècle, puis fonda une école à Montmartre où ses disciples répétaient avec lui qu'eux seuls existaient et que le monde n'était que leur fantasme. Intrigué, il abandonne ses travaux et part à la recherche de ce philosophe singulier dont une sorte de conspiration fait apparaître et disparaître les traces. Cette enquête va l'entraîner de Paris à Amsterdam mais surtout au fond de lui-même, là où la raison se fait déraisonnable et les vertiges hallucinants.Car si l'univers n'est qu'un rêve, chacun de nous en est l'auteur, donc Dieu. La logique devient folle et, pour s'y mesurer, il fallait le talent, l'audace et l'intelligence de Eric Emmanuel Schmitt, homme de théâtre dont la pièce, le visiteur, qui a triomphé aux "Molière", est en train de faire le tour du monde."

125 pages

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"La bibliothèque des cœurs cabossés", de Katarina Bivald

"Tout commence par les lettres que s’envoient deux femmes très différentes : Sara Lindqvist, vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, vivant à Haninge en Suède, et Amy Harris, soixante-cinq ans, vieille dame cultivée et solitaire, de Broken Wheel, dans l'Iowa. Après deux ans d’échanges et de conseils à la fois sur la littérature et sur la vie, Sara décide de rendre visite à Amy. Mais, quand elle arrive là-bas, elle apprend avec stupeur qu’Amy est morte. Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine. Pour la première fois de sa vie, Sara se fait de vrais amis – et pas uniquement les personnages de ses romans préférés –, qui l'aident à monter une librairie avec tous les livres qu’Amy affectionnait tant. Ce sera pour Sara, et pour les habitants attachants et loufoques de Broken Wheel, une véritable renaissance."

507 pages

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"1984"

"De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée."

382 pages

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"Un monde sans fin", de Ken Follet

"1327. Quatre enfants sont les témoins d’une poursuite meurtrière dans les bois : un chevalier tue deux soldats au service de la reine, avant d’enfouir dans le sol une lettre mystérieuse, dont la teneur pourrait mettre en danger la couronne d’Angleterre. Ce jour lie à jamais leurs sorts... L’architecte de génie, la voleuse éprise de liberté, la femme idéaliste, le guerrier dévoré par l’ambition : mû par la foi, l’amour et la haine, le goût du pouvoir ou la soif de vengeance, chacun d’eux se bat pour accomplir sa destinée dans un monde en pleine mutation – secoué par les guerres, terrassé par les famines, et ravagé par la Peste noire. Avec Un monde sans fin, Ken Follett nous offre une nouvelle fresque historique aussi séduisante et captivante que Les Piliers de la Terre, cette superbe épopée romanesque qui avait pour cadre l’Angleterre du xiie siècle."

1336 pages!!!

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"Quand je pense que Beethoven est mort alors que tant de crétins vivent...", de Eric-Emmanuel Schmitt

"Lors d'une exposition de masques, Beethoven revient dans la vie d'Eric-Emmanuel Schmitt : surpris, il se rappelle l'avoir aimé passionnément pendant son adolescence. Pourquoi ne l'écoute-t-il plus ? Pourquoi n'a-t-il plus eu besoin de sa passion, sa véhémence, sa noblesse ? Réfléchissant à partir de sa propre vie, Schmitt médite sur notre époque qui ne croit ni en Dieu ni en l'homme, où l'individu se sent broyé et inutile. Il ausculte notre temps désespéré que l'idéal de grandeur a quitté Un essai brillant et intime, fait d'émotions, de surprises et d'émerveillements où Schmitt élucide ce génie, créateur d'une ''messe pour l'humanité'', un homme infirme, seul, malheureux, accablé par le sort, qui écrit pourtant une oeuvre énergique couronnée par un hymne à la joie. Comment peut-on avoir le sens du tragique et se montrer optimiste ? Tel sera le défi pour notre siècle ; tel est le message de Beethoven : il nous propose une philosophie et une morale humaniste dont nous avons un urgent besoin."

184 pages

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"Ulysse from Bagdad", de Eric-Emmanuel Schmitt

"Saad veut quitter Bagdad et son chaos, pour gagner l’Europe, la liberté, un avenir. Mais comment franchir les frontières sans un dinar en poche ? Tel Ulysse, il affronte les tempêtes, survit aux naufrages, échappe aux trafiquants d’opium, ignore le chant des sirènes, et doit s’arracher aux enchantements amoureux. Tour à tour absurde, bouffon, dramatique, le voyage sans retour de Saad commence…"

310 pages

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"Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran", de Eric-Emmanuel Schmitt

"Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif…"

85 pages

= 3567 pages!!!!

Je sens que je vais passer de bonnes soirées...

A bientôt!

Manon


Bienvenue dans le palais de la lecture!

Moi, Manon...

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